C’était pendant l’été 1973.[1]
Mon père[2] exerçait ses activités à Mknaas.[3]
J’ai fait le voyage de France pour présenter mon épouse à « la famille ».[4]
Au bout de quelques jours, mon père qui aimait le Sud m’a fait savoir qu’il serait bon que nous fassions, mon épouse et moi, un séjour à Agaadiir,[5] en tant que jeunes mariés.[6]
Le fils aîné de la troisième épouse de mon père dont j’ai déjà parlé,[7] qui est toujours, à cinquante sept ans passés, dans « la toute puissance » comme disent les « psy », était lycéen, encore mineur, mais disposait déjà d’une voiture[8] et a eu l’année d’après, tout en étant toujours mineur,[9] une procuration[10] afin de disposer, entre autres, de l’argent à sa guise.[11]
Il s’était « proposé »[12] pour nous conduire dans le Sud.
Mon père lui avait remis le nécessaire pour les frais du voyage et du séjour.
Mais ce fils ne s’est pas gêné pour nous pousser à prendre en charge toutes les dépenses.[13]
Il savait que je n’allais pas m’abaisser à lui demander quoi que ce soit, et en a profité, comme il l’a toujours fait avec tout le monde.[14]
Il n’a jamais cessé de s’accaparer de mille et une choses, y compris d’une maison de mon père, et d’agir en usurpateur.
Imbu de sa personne, buté, fermé à l’écoute, indigne de confiance, malfaisant, sournois, médisant, diffamateur, insultant, tricheur, menteur, profiteur, rancunier, faux jeton, avare, accroc à la moindre pièce de monnaie, prompt à tout amasser, il a recours à de multiples falsifications, magouilles et combines pour s’approprier avec un aplomb inimaginable, ce qui ne lui appartient pas.[15]
Il refuse d’invoquer le Pardon d’Allaah pour tout cela, et pour plus encore, n’accepte pas de réparer ce qui peut encore l’être concernant ses pratiques néfastes, continue de nuire, rejette le bon conseil[16] qui peut l’aider à se réformer et ne veut pas suivre le convenable[17] et abandonner le condamnable.[18]
Après le décès de mon père, j’ai envoyé à sa mère un document signifiant mon désistement concernant « l’héritage ».
Je ne lui ai pas répété ce qu’elle n’ignore pas sur les pratiques condamnables relatives à l’acquisition d’un « bien ».
Je n’ai pas cherché non plus à lui rappeler ce qu’elle sait parfaitement, c’est à dire tout ce qui a été soutiré au défunt par tous les moyens avant son départ pour l’au-delà, et les vols qui perdurent.
Je n’ai pas plus parlé de ce qu’elle ne peut pas nier, à savoir la mainmise sur des « biens » par certains de ses enfants, qui continuent sans gêne leur manège.[19]
Mon père[2] exerçait ses activités à Mknaas.[3]
J’ai fait le voyage de France pour présenter mon épouse à « la famille ».[4]
Au bout de quelques jours, mon père qui aimait le Sud m’a fait savoir qu’il serait bon que nous fassions, mon épouse et moi, un séjour à Agaadiir,[5] en tant que jeunes mariés.[6]
Le fils aîné de la troisième épouse de mon père dont j’ai déjà parlé,[7] qui est toujours, à cinquante sept ans passés, dans « la toute puissance » comme disent les « psy », était lycéen, encore mineur, mais disposait déjà d’une voiture[8] et a eu l’année d’après, tout en étant toujours mineur,[9] une procuration[10] afin de disposer, entre autres, de l’argent à sa guise.[11]
Il s’était « proposé »[12] pour nous conduire dans le Sud.
Mon père lui avait remis le nécessaire pour les frais du voyage et du séjour.
Mais ce fils ne s’est pas gêné pour nous pousser à prendre en charge toutes les dépenses.[13]
Il savait que je n’allais pas m’abaisser à lui demander quoi que ce soit, et en a profité, comme il l’a toujours fait avec tout le monde.[14]
Il n’a jamais cessé de s’accaparer de mille et une choses, y compris d’une maison de mon père, et d’agir en usurpateur.
Imbu de sa personne, buté, fermé à l’écoute, indigne de confiance, malfaisant, sournois, médisant, diffamateur, insultant, tricheur, menteur, profiteur, rancunier, faux jeton, avare, accroc à la moindre pièce de monnaie, prompt à tout amasser, il a recours à de multiples falsifications, magouilles et combines pour s’approprier avec un aplomb inimaginable, ce qui ne lui appartient pas.[15]
Il refuse d’invoquer le Pardon d’Allaah pour tout cela, et pour plus encore, n’accepte pas de réparer ce qui peut encore l’être concernant ses pratiques néfastes, continue de nuire, rejette le bon conseil[16] qui peut l’aider à se réformer et ne veut pas suivre le convenable[17] et abandonner le condamnable.[18]
Après le décès de mon père, j’ai envoyé à sa mère un document signifiant mon désistement concernant « l’héritage ».
Je ne lui ai pas répété ce qu’elle n’ignore pas sur les pratiques condamnables relatives à l’acquisition d’un « bien ».
Je n’ai pas cherché non plus à lui rappeler ce qu’elle sait parfaitement, c’est à dire tout ce qui a été soutiré au défunt par tous les moyens avant son départ pour l’au-delà, et les vols qui perdurent.
Je n’ai pas plus parlé de ce qu’elle ne peut pas nier, à savoir la mainmise sur des « biens » par certains de ses enfants, qui continuent sans gêne leur manège.[19]
BOUAZZA
[1] Selon le calendrier dit Grégorien.
[2] Décédé le samedi 04 octobre 2008.
[3] Meknès.
[4] La cérémonie administrative du mariage a eu lieu à la mairie en France.
De ma famille, seul mon frère de deux ans et deux mois plus jeune que moi, à l’époque travailleur immigré en région parisienne, était présent.
C’est le dernier fils de mon père avec la deuxième épouse, ma mère.
Comme ses autres enfants, il lui a été arraché lorsqu’elle a été divorcée.
Il n’avait pas deux ans.
[5] Le "r" roulé, Agadir.
[6] Il avait déjà tout prévu avant notre arrivée.
[7] Se reporter à mes textes intitulés "Libération", "Héritage", "Usurpateurs", "Encore sur les usurpateurs", "Échecs", "Famille décomposée", "Donation", "Ziid, ziid", "Bermudas".
[8] Il en a eu d’autres par la suite, encore au lycée, puis à l’université et après, payées avec l’argent pris à mon père.
Une de ces voitures était à mon épouse, et je n’ai pas souvenir de son paiement.
Lorsqu’il l’avait usé, il l’a fourgué à une sœur plus jeune à un prix presque trois fois plus cher que celui que mon père devait payer à mon épouse.
Cette sœur n’avait pas besoin de ce véhicule qu’il lui avait imposé en sachant qu’il pouvait par ce biais, soutirer de l’argent au mari.
[9] L’âge de "la majorité" à l’époque était à vingt et un ans.
[10] Sur laquelle sa date de naissance est falsifiée (il s’est lancé tôt dans le blâmable, et le fait de remonter dans le temps, permet de constater la continuité dans ce domaine).
[11] Lorsque mon père est décédé en 2008, ce fils de la troisième épouse avait en sa possession les coordonnées de presque une dizaine de comptes bancaires de mon père !
Par des falsifications, des magouilles inavouées et des combines auxquelles il recourt depuis des lustres et qu’il tente vainement de camoufler, il a essayé dernièrement d’obtenir un visa dit de "longue durée" pour "installer" sa mère en France, en faire une vielle immigrée de la colonie, plongée dans les tricheries afin de soutirer de la métropole des subsides sociaux et autres, pour que lui puisse vendre la maison qu’il a usurpée du vivant de mon père, et que sa mère occupe.
Le visa a été refusé ─ pour une fois, j’approuve l’administration consulaire de la métropole, quant à la politique des visas ─ mais lui continue de cogiter pour vendre la maison qu’il a usurpée.
[12] Cela aussi était prévu, bien sûr.
[13] Il n’a pas eu de gêne non plus pour falsifier les faits en soutenant qu’il a dépensé pour nous tout ce que mon père lui a remis pour le voyage et le séjour.
Il a toujours eu recours aux falsifications pour ses mauvaises actions.
Et les parents ont toujours laissé faire.
[14] Mon père qui était habitué à se faire dépouiller par des enfants de la troisième épouse, achetait en fait une certaine "tranquillité" dans "le couple" (comme d’autres l’ont fait, le font et le feront) , pour continuer des errements condamnables.
Plus tard, il a chargé un autre fils de la troisième épouse, en sachant qu’il allait également le dépouiller, d’emmener mes deux enfants à Agaadiir.
Ce fils s’est accaparé de l’argent, et n’a dépensé pour mes enfants que le strict minimum.
Voleur accompli, lui aussi a usurpé une maison de mon père, qu’il a vendue du vivant de celui-ci en procédant à des falsifications, à des magouilles et à des combinaisons qu’il utilise dans divers domaines, et auxquelles il a encore recours pour continuer de s’accaparer de revenus qui font partie de "l’héritage" qui n’a pas été "réglé".
Un autre s’est accaparé d’une maison qu’il occupe depuis plus de vingt ans et ne tient pas non plus, à ce que "l’héritage" soit "réglé".
[15] Il s’accaparait même du courrier qui m’était adressé.
[16] Annaçiiha.
[17] Alma’rouf.
[18] Almonekar.
[19] Voir :
http://raho.over-blog.com/
http://paruredelapiete.blogspot.com/
http://ici-bas-et-au-dela.blogspot.com/
http://laroutedelafoi.blogspot.com/
http://voyageur-autre.blogspot.com/
[2] Décédé le samedi 04 octobre 2008.
[3] Meknès.
[4] La cérémonie administrative du mariage a eu lieu à la mairie en France.
De ma famille, seul mon frère de deux ans et deux mois plus jeune que moi, à l’époque travailleur immigré en région parisienne, était présent.
C’est le dernier fils de mon père avec la deuxième épouse, ma mère.
Comme ses autres enfants, il lui a été arraché lorsqu’elle a été divorcée.
Il n’avait pas deux ans.
[5] Le "r" roulé, Agadir.
[6] Il avait déjà tout prévu avant notre arrivée.
[7] Se reporter à mes textes intitulés "Libération", "Héritage", "Usurpateurs", "Encore sur les usurpateurs", "Échecs", "Famille décomposée", "Donation", "Ziid, ziid", "Bermudas".
[8] Il en a eu d’autres par la suite, encore au lycée, puis à l’université et après, payées avec l’argent pris à mon père.
Une de ces voitures était à mon épouse, et je n’ai pas souvenir de son paiement.
Lorsqu’il l’avait usé, il l’a fourgué à une sœur plus jeune à un prix presque trois fois plus cher que celui que mon père devait payer à mon épouse.
Cette sœur n’avait pas besoin de ce véhicule qu’il lui avait imposé en sachant qu’il pouvait par ce biais, soutirer de l’argent au mari.
[9] L’âge de "la majorité" à l’époque était à vingt et un ans.
[10] Sur laquelle sa date de naissance est falsifiée (il s’est lancé tôt dans le blâmable, et le fait de remonter dans le temps, permet de constater la continuité dans ce domaine).
[11] Lorsque mon père est décédé en 2008, ce fils de la troisième épouse avait en sa possession les coordonnées de presque une dizaine de comptes bancaires de mon père !
Par des falsifications, des magouilles inavouées et des combines auxquelles il recourt depuis des lustres et qu’il tente vainement de camoufler, il a essayé dernièrement d’obtenir un visa dit de "longue durée" pour "installer" sa mère en France, en faire une vielle immigrée de la colonie, plongée dans les tricheries afin de soutirer de la métropole des subsides sociaux et autres, pour que lui puisse vendre la maison qu’il a usurpée du vivant de mon père, et que sa mère occupe.
Le visa a été refusé ─ pour une fois, j’approuve l’administration consulaire de la métropole, quant à la politique des visas ─ mais lui continue de cogiter pour vendre la maison qu’il a usurpée.
[12] Cela aussi était prévu, bien sûr.
[13] Il n’a pas eu de gêne non plus pour falsifier les faits en soutenant qu’il a dépensé pour nous tout ce que mon père lui a remis pour le voyage et le séjour.
Il a toujours eu recours aux falsifications pour ses mauvaises actions.
Et les parents ont toujours laissé faire.
[14] Mon père qui était habitué à se faire dépouiller par des enfants de la troisième épouse, achetait en fait une certaine "tranquillité" dans "le couple" (comme d’autres l’ont fait, le font et le feront) , pour continuer des errements condamnables.
Plus tard, il a chargé un autre fils de la troisième épouse, en sachant qu’il allait également le dépouiller, d’emmener mes deux enfants à Agaadiir.
Ce fils s’est accaparé de l’argent, et n’a dépensé pour mes enfants que le strict minimum.
Voleur accompli, lui aussi a usurpé une maison de mon père, qu’il a vendue du vivant de celui-ci en procédant à des falsifications, à des magouilles et à des combinaisons qu’il utilise dans divers domaines, et auxquelles il a encore recours pour continuer de s’accaparer de revenus qui font partie de "l’héritage" qui n’a pas été "réglé".
Un autre s’est accaparé d’une maison qu’il occupe depuis plus de vingt ans et ne tient pas non plus, à ce que "l’héritage" soit "réglé".
[15] Il s’accaparait même du courrier qui m’était adressé.
[16] Annaçiiha.
[17] Alma’rouf.
[18] Almonekar.
[19] Voir :
http://raho.over-blog.com/
http://paruredelapiete.blogspot.com/
http://ici-bas-et-au-dela.blogspot.com/
http://laroutedelafoi.blogspot.com/
http://voyageur-autre.blogspot.com/
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