lundi 14 novembre 2011

LES TAS DE « DROITS »




Des criminels, des oppresseurs, des exploiteurs, des destructeurs, des tortionnaires, des corrompus, des corrupteurs, des traîtres, des trompeurs, des usurpateurs, des pilleurs, des manipulateurs, des hypocrites, des fornicateurs, des pédophiles, des agresseurs sexuels, des violeurs, des pervers, des imposteurs, j’en passe et des pires, s’érigent en « bienfaiteurs de l’Humanité » !
Des mâles et des femelles à la tête des États, s’adonnent à des pratiques nauséabondes, à la débauche dans toutes ses formes, aux vols, aux mensonges, aux horreurs, et se proclament « défenseurs des droits de l’Homme » !
Des ministres et divers autres personnages, s’envoient en l’air dans des bureaux, des ascenseurs, des chiottes, et s’affichent comme « dévoués à l’intérêt général » !
Des députés, des sénateurs et autres « élus », absorbés par des combines et des magouilles, qui copulent à tout va dans des véhicules de « service » et des recoins de bâtiments dits « publics », qui se font des fellations, se lèchent et fricotent dans de multiples endroits institutionnels, qui aménagent mille et une rencontres pour se livrer aux enculeries et aux explorations anatomiques, se veulent « protecteurs du suffrage universel » !
Des membres racoleurs de partis politiques, partisans de la « promotion canapé »,[1] de la fornication et de l’adultère, se disent « au service des populations » ![2]
La mafia de cette décomposition, qui depuis des lustres étend sa gangrène, continue de déverser ses ordures, et de répandre son imposture et sa puanteur.[3]
Elle achète des « politiques », des « magistrats », des « avocats », des « patrons », des « syndicalistes », des « médecins », des « professeurs » des « intellectuels », des « journalistes », des « écrivains », des « artistes », et autres.
Elle « offre » des emplois fictifs, des fauteuils moelleux, des postes recherchés, des sièges dans de multiples organismes, des places dans des gouvernements, élit des présidents, intronise des rois et des reines, procure de l’argent, des voyages, et mille et une autres « faveurs ».
Elle veille sur l’étable de la loi.[4]
Elle dispose des États comme instruments de son bon vouloir, agit à sa guise et impose son diktat.
Elle insulte, calomnie, diffame, salit, souille, humilie, affame, écrase, détruit, et élimine quiconque attaque les tas de « droits »,[5] son fonds de commerce.[6]

BOUAZZA


[1] Utilisation du sexe pour la "réussite professionnelle".
[2] Se reporter à mon texte intitulé "Baisolution" (contraction des mots baiser et révolution).
[3] Se reporter à mon texte intitulé "Et maintenant ?"
[4] Les tables de la loi.
Se reporter à mon texte intitulé "L’étable de la loi".
[5] Elle recourt à la "dialectique" toujours payante et très prisée, qui permet à des défenseurs de mensonges de faire feu de tout bois, avec des "techniques" bien connues qui consistent à "victimiser" les coupables et à accuser les victimes.
Se reporter à mon texte intitulé "Mafia".
[6] Voir :
http://raho.over-blog.com/
http://paruredelapiete.blogspot.com/
http://ici-bas-et-au-dela.blogspot.com/
http://laroutedelafoi.blogspot.com/
http://voyageur-autre.blogspot.com/




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