Disposée à recourir y compris au blâmable pour être au centre de l’attention, et attachée à ce qui tire vers le bas pour être remarquée et se sentir « valorisée », elle s’est lancée dans une sorte de gesti-cul-ation,[1] qui n’a pas échappé au gigolo de service habitué à aller droit aux putes.[2]
Il s’est approché, s’est mis derrière elle, lui a mis les mains sur les hanches et a bandé en fixant le croupion offert.
Auparavant, il niquait des tassespé[3] et des pédés dans des caves pour la caillera.[4]
Maintenant – tout en étant marié – des « femmes émancipées » s’offrent à lui, et des « hommes se donnent librement » !
Dans les soirées,[5] sa bite est accueillie par divers orifices.[6]
Une des épouses habituée de ces partouzes, fait de la baise son principe de base,[7] et répète à chaque occasion qu’il lui est impossible de comprendre comment l’Islaam[8] ne peut envisager les rapports sexuels que dans le cadre du mariage entre un homme et une femme.
C’est une « atteinte à la cul-ture », [9] un « crime contre le sexe » s’indigne t-elle.[10]
Elle n’admet pas non plus que les croyantes se couvrent les cheveux.
C’est une « violation de la liberté », une « négation de la féminité » hurle-t-elle,[11] puis se ressert du vin en braillant la «chanson de Margot».[12]
Une de ses amies s’assoit les jambes écartées pour offrir à la contemplation[13] sa fente de fausse blonde.
La mère de cette amie fait partie des « militantes »[14] pour initier des femelles[15] originaires de pays dits « arabo-musulmans », à « la tolérance »,[16] à « la dignité féminine », à « la jouissance sans entraves », à la « tech-nique pour emballer dans les boîtes de nuit, sur internet et autres », en leur transmettant le désir de stimuler et d’aiguiser les sens « laïcs », afin d’alimenter et d’entretenir leur « soif d’échapper à l’obscurantisme », et en faire des « intégmilées »[17] utilisables dans les agressions contre l’Islaam.[18]
L’épouse dont la baise est le principe de base, aime exposer comment elle a appris à con-cilier[19] le plaisir avec son mari, et à ne plus cul-pabiliser[20] quant à son attrait pour le sexe sans frontières et à son appétit de suceuse sans discrimination !
Portée sur le con-fort[21] et « l’art »,[22] elle en parle entre deux sauteries.[23]
Dans un coin de sa chambre à coucher que connaît la fente de fausse blonde, la bite du gigolo de service, et d’autres, à côté d’un luxueux livre de cuisine, d’un pénis en bois d’ébène et d’une s-cul-pture[24] représentant un mâle avec sa queue en érection, trône une copie du tableau de Gustave Courbet, « l’origine du monde », peint en 1866, suite à une commande d’un « diplomate » Turc !
Ce tableau représente une femelle allongée nue sur le dos, les jambes écartées, offrant son vagin et sa toison pubienne.
L’épouse se met face à cette image pornographique,[25] met un doigt dans son vagin, se livre à un va et vient intense, et con-tinue[26]avec son objet cul-te,[27] le pénis en bois d’ébène.
En regagnant le bercail, le gigolo de service savoure la cerise sur le gâteau : Le moment où il besogne bobonne.
Il ignore que son « honorable épouse » se fait tirer ailleurs, et que c’est une professionnelle des fellations.
Tout à sa besogne, il lui arrive de penser à ce qui a lieu parfois à l’institution pour personnes âgées attenante au domicile con-jugal,[28] où la sœur Ize sur le gâteux qu’il connaît bien, con-tribue[29] à augmenter son appétit.[30]
BOUAZZA
[1] Gesticulation.
[2] Au but.
[3] Pétasses.
[4] Racaille.
[5] C’est dans une de ces soirées qu’une épouse dont le principe de base est la baise, en a fait son baiseur et qui depuis, aime se le faire régulièrement.
Elle était dans un coin, et il a tout de suite vu qu’elle était en chaleur et ne pouvait pas attendre.
Il n’a pas attendu.
Pendant qu’elle se faisait enculer debout, un fan de la "gay-pride" ─ parade des homosexuels et des lesbiennes ─ allongé sur le sol, parlait de "baisons futés" et s’excusait pour le "lape-suce" (lapsus), car, susurrait-t-il, il voulait dire "bison futé" (l’appellation publicitaire du système de régulation du trafic routier) !
Le gigolo de service s’est occupé de lui aussi dans la soirée.
Ce soir là, l’escalier ne manquait pas d’affluence.
La queue grossissait de plus en plus.
L’espace à l’étage ne pouvait plus accueillir tout le monde.
Par moments, de drôles de "glapissements" canins se faisaient entendre !
Des effluves se répondaient et dans la pénombre, deux femelles s’occupaient des alcools et de la poudre.
[6] Il est tellement serviable que sa bite est accueillie partout !
[7] Pour elle, il n’y a pas que le sexe dans la vie, il y a aussi le cul.
[8] L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
[9] Culture.
[10] Elle précise cependant qu’au fond, elle s’en tape car elle baise quand elle veut avec des "musulmans" (la con-fusion entre l’origine ethnique d’une personne et son adhésion à l’Islaam continue d’être entretenue et se traduit, entre autres, par l’assimilation des "arabes" par exemple aux "musulmans" et par la difficulté de comprendre que le Message d’Allaah ne s’adresse pas à une ethnie particulière, mais à tous les êtres humains et que par conséquent, toute personne peut faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande, c'est-à-dire être croyante).
[11] Et ajoute qu’elle milite afin que ces femmes s’intègrent et s’assimilent pour devenir des "femmes libérées" comme elle !
[12] Amis, pour bien chanter l’amour,
Il faut boire,
Il faut boire
À la santé du petit conduit
Grâce auquel on se réjouit,
À la santé du petit conduit,
Par où Margot fait pipi !
[13] En préparant la suite.
[14] Elle a été remarquée lors d’une manifestation avec "des travailleuses du sexe", des putes, pour "la défense du droit au travail" !
[15] Avec une préférence pour celles au Q.I. enviable !
[16] Celle "des maisons de tolérance".
[17] Contraction des mots "intégrées" et "assimilées".
[18] Elle s’occupe aussi de mâles qui dans le cadre d’autres structures sont destinés au même usage, et servent également d’étalons.
Ces femelles et ces mâles sont "fiers de leur réussite", et très attachés à l’os de porc qu’ils peuvent ronger dans le cadre de la "diversité" voulue par leurs patrons.
[19] Concilier.
[20] Culpabiliser.
[21] Confort.
[22] En priorité cul-inaire.
[23] Elle parle aussi de "libération de la femme", et se délecte de mots sur "la baisolution" (con-traction de baise et révolution).
[24] Sculpture.
[25] Un chef d’œuvre pour elle, et pour d’innombrables autres.
[26] Continue.
[27] Culte.
[28] Conjugal.
[29] Contribue.
[30] Voir :
http://raho.over-blog.com/
http://paruredelapiete.blogspot.com/
http://ici-bas-et-au-dela.blogspot.com/
http://laroutedelafoi.blogspot.com/
http://voyageur-autre.blogspot.com/
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