Avec son cul-te[4] de l’interpénétration, elle ne néglige pas les seins-boles[5] pour entretenir sa conne-pétance,[6] et alimenter sa cul-ture[7] de la gestuelle des deux mains.
La gauche pour le con-sensuel.[8]
La droite pour le reste !
Sa langue, qu’elle passe avec délectation sur ses lèvres, se veut une synthèse, la sœur Ize sur le gâteux.[9]
Son con[10] est partagé.
Ses soirées aux drogues multiples, ses ébats, ses orgies, ses frasques dans des bureaux, des ascenseurs et des chiottes, son habitude de s’envoyer en l’air dans des véhicules de « service » et des recoins de bâtiments « publics », son goût de con-quête, [11]de fellations, du plaisir à se faire lécher et à fricoter dans de multiples endroits d’institutions diverses, ses fréquentations des violeurs,[12] des pédophiles, et autres débauchés, son attachement à l’adultère, sa recherche des queues sans frontières, des enculeries et des diverses explorations anatomiques, lui ont fait croire, ainsi qu’à son con-joint,[13] que la mafia avait décidé de l’élire au poste de Présidente de la Ré-pub-lique.[14]
Elle a toujours obéit à cette mafia, et fait où il lui a été dit de faire !
Elle sait que des « politiques », des « élus », des « magistrats », des « avocats », des « patrons », des « syndicalistes », des « médecins », des « professeurs » des « intellectuels », des « journalistes », des « écrivains », des « artistes », et autres ne sont rien sans cette mafia qui « offre » des emplois fictifs, des fauteuils moelleux, des postes recherchés, des sièges dans diverses institutions, des places au gouvernement, de l’argent, des voyages, du sexe et d’innombrables autres choses.
C’est cette mafia qui lui a constamment permis, entre autres, de recourir à l’insinuation, à la calomnie, à la diffamation, aux insultes, aux mensonges et aux multiples agressions, en jouissant d’une totale impunité, et lui a appris l’étable de la loi[15] qu’elle utilise pour humilier, rabaisser, mépriser, salir, écraser et éliminer.
C’est cette mafia qui utilise son arme de destruction massive consistant à traiter d’antisémite toute menace contre ses escroqueries, et qui lui sert à faire fructifier son fonds de commerce.
C’est cette mafia qui dispose des États comme elle veut, pour agir à sa guise.
C’est cette mafia qui contrôle la finance internationale et impose son diktat partout.
La conne-vaincue cul-tive[16] ce qui lui a été ino-culé[17] par un étalon que cette mafia avait installé sur le trône du palais de l’Élysée.
Elle met son doigt, le majeur, au derrière, esquisse un mouvement de zouk,[18] renifle, se ré-pète[19] qu’elle est un bon coup, qu’elle a ce qu’il faut pour devenir Présidente de la Ré-pub-lique, mais comprend que « sa mafia chérie » ne veut pas de son derrière sur le trône du palais de l’Élysée.[20]
BOUAZZA
[1] Conne vaincue.
[2] Contact.
[3] La compétition.
[4] Culte.
[5] Symboles.
[6] Compétence.
[7] Culture.
[8] Consensuel.
[9] La cerise sur le gâteau.
[10] Camp.
[11] Conquête.
[12] Sous lesquels elle a été initiée à certaines pratiques.
[13] Conjoint.
[14] République.
[15] Les tables de la loi.
Se reporter à mon texte intitulé "L’étable de la loi".
[16] Cultive.
[17] Inoculé.
[18] Zouk, zk désigne le derrière au Mghrib (Maroc).
Le zouk répandu par les Antilles, prépare à la copulation par une danse.
[19] Répète.
[20] Voir :
http://raho.over-blog.com/
http://paruredelapiete.blogspot.com/
http://ici-bas-et-au-dela.blogspot.com/
http://laroutedelafoi.blogspot.com/
http://voyageur-autre.blogspot.com/
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