Je ne fais que reprendre ce que j’ai déjà dit de ces « intégmilés ».[1]
En France, des mesures pour la « diversité » mettent en relief des « beurettes »[2] afin de continuer les agressions contre l’Islaam,[3] sous couvert d’intérêt pour ce qui est appelé « Lisse-lame-la-hic ».[4]
Les médias s’occupent des mises en scène : Encensement de l’emballage, maquillage, tours de passe-passe, faciès photogénique, images estampillées par le B.A.I.[5]
Pour un dîner au champagne avec les « grands » par exemple, une « musulmane laïque », en coiffure émancipée et en robe de femme libérée, est chargée de faire une déclaration devant les caméras.[6]
Les parents de la « musulmane laïque », installés, pour la circonstance, avec les « grands », ne la reconnaissent pas.
D’ailleurs la « musulmane laïque » elle-même, en se voyant dans une glace, a du mal à savoir que c’est elle.
Relookée.
« Intégmilée » !
Dans un décor « universel » et au son d’une musique « républicaine », toutes les caméras, d’extrême gauche, de gauche, du centre, de droite, d’extrême droite et autres, sont braquées sur le doux visage de la représentante de « lisse-lame-la-hic ».
La représentante fixe la caméra principale dans l’oeil et déclare :
« Ni vendues ni achetées, nous sommes des personnes qui venons de partout, et qui sommes, comme vous le savez, attachées à la francité.
Pour nous, « lisse-lame-la-hic » est un mariage d’amour de la diversité et de la francité justement.
Ce mariage, c’est la marche qui continue, sous les hospices[7] de la République ».
Plus d’une fois, le tonnerre d’applaudissements a fait croire à l’explosion d’une « bombe islamiste », et les lieux ont été évacués pour faire « bien » !
Les « intégmilés » de ce genre, femelles et mâles ou mâles et femelles, ne cessent de « prospérer » !
Ils veulent être des « battants » et font ce qu’ils peuvent pour plaire au « dominant ». Lorsqu’ils parlent ou écrivent, ils ont recours à des termes recherchés parce qu’ils ont toujours peur de ne pas être à la « hauteur ».
Ils déclament sur tous les tons et conjuguent à tous les temps leur allégeance au « dominant ».
Ils ont des origines de pays dits « arabo-musulmans ».
Le « dominant », rejetant l’Islaam et le combattant depuis toujours ─ et encore plus en ces temps où tout est mis en oeuvre pour s’attaquer partout aux croyants et aux croyantes[8] accusés de tous les maux ─ leur offre l’occasion, en leur qualité de « musulmans », de s’exprimer et de soutenir que « le déclin des musulmans est dû principalement à l’Islam […] empêchant ses adhérents de participer au progrès de l’humanité […] ; en conséquence, plus vite les peuples musulmans seront émancipés des croyances et des règles sociales de l’Islam pour adopter le mode de vie de l’Occident, mieux cela vaudra pour eux-mêmes et pour le reste du monde… »[9]
Ces « intégmilés » participent aux agressions contre l’Islaam, mais prétendent militer pour la « rénovation » afin de faire triompher un « islam modéré », « cartésien », « rationnel », « civilisé », « laïc ».
Le « dominant » leur ouvre les médias qui « comptent », les maisons d’édition « sérieuses », les cercles de « qualité » et les voilà qui veulent en finir avec les « les islamistes », les « salafistes », les « djihadistes », les « terroristes », les « indigènes », les « ignorants », les « fanatiques », les « obscurantistes », pour renforcer la « libération de la femme », et tout le toutim ![10]
Leurs enseignants, « français de souche »,[11] leur balisent le parcours, afin d’emprunter de « nouveaux sentiers ».
À la télévision, dans les locaux d’autres médias, dans ceux du B.A.I.,[12] des services de renseignements, d’espionnage, de contre-espionnage, de suivi des « mouvances islamistes », ils sont chez eux.
Ils sont intarissables sur la « charia »,[13] la « fatwa »,[14] le « tchador »,[15] le « jihad »[16] et se relaient pour mettre en garde contre « l’antisémitisme » et « l’islamisme » !
Ils reçoivent de l’argent de multiples officines pour débiter des insanités, ressasser d’inter-minables insultes et entretenir l’imposture.
Intervenants « sans frontière », ils apprécient les « chèques arabes » et se pressent pour servir comme « islamologues » auprès de « dirigeant des États dits musulmans ».[17]
Avec eux, les « intégmilés » sont satisfaits de la place qui leur est concédée.
Ils bénéficient même de certains emplois de porte-serviettes « élus » dans diverses institutions où des os de porc à ronger leur sont réservés.
Ils sont incités bien entendu à se combattre mutuellement afin qu’émergent les plus attachés à ces os de la « Ré-pub-lique », de ses organisations d’extrême gauche, de gauche, du centre, de droite, d’extrême droite et de tout ce qui con-tribue à la tambouille de la « difirsiti ».[18]
Ils sont estampillés « la hic »,[19] mangent du « couscous au saucisson »,[20] boivent de l’« alcool à la menthe »,[21] et sont adeptes de la fornication et de l’adultère,[22] « afic dii bites miou qu’ou blid ».[23]
Ils n’empochent pas les mêmes sommes, mais dit un des leurs, boulitizi[24] :
─ « Si ni ba coum li zoutr, mi si ni ba illigal siloun li saint dika ».[25]
Il n’y a pas si longtemps, je me suis trouvé en groupe, en train d’écouter un « instruit »[26] parmi ces « musulmans » de sirfis[27] :
─ « Voyez-vous, la broublimatic[28] de lisse-lame est à situer dans le con-texte[29] économico-politique, socio-culturel, historico-linguistique, sans négliger les caractéristiques géographico-climatiques et les aspects de représentation et autres.
Sou finoumin[30] où tout s’enchevêtre et où la confusion règne, s’analyse forcément, à plusieurs degrés.
Li broumi digri[31] se divise en trois points qui eux-mêmes se subdivisent en trois catégories.
Le premier degré du premier point dans la première catégorie, soulif[32] ce que le con-frère[33] appelle, en usant d’une sémantique conne-nue,[34] les « hachchachines », les assassins c'est-à-dire les tirouristes[35]… ».
Interruption.
Pause publicitaire.
Musique laïque.
Une femelle sensuelle.
Un sexe à piles.[36]
Une salle de « massages ».
Un corps nu.
Une petite culotte.
La femelle montre un tampon hygiénique et annonce d’une voie veloutée :
─ Le bonheur c’est comme un doigt.
Vous l’introduisez et c’est la fin des soucis !
Avec le tampon hygié-nique kon-cho, vous profitez pleinement de la liberté.[37]
BOUAZZA
En France, des mesures pour la « diversité » mettent en relief des « beurettes »[2] afin de continuer les agressions contre l’Islaam,[3] sous couvert d’intérêt pour ce qui est appelé « Lisse-lame-la-hic ».[4]
Les médias s’occupent des mises en scène : Encensement de l’emballage, maquillage, tours de passe-passe, faciès photogénique, images estampillées par le B.A.I.[5]
Pour un dîner au champagne avec les « grands » par exemple, une « musulmane laïque », en coiffure émancipée et en robe de femme libérée, est chargée de faire une déclaration devant les caméras.[6]
Les parents de la « musulmane laïque », installés, pour la circonstance, avec les « grands », ne la reconnaissent pas.
D’ailleurs la « musulmane laïque » elle-même, en se voyant dans une glace, a du mal à savoir que c’est elle.
Relookée.
« Intégmilée » !
Dans un décor « universel » et au son d’une musique « républicaine », toutes les caméras, d’extrême gauche, de gauche, du centre, de droite, d’extrême droite et autres, sont braquées sur le doux visage de la représentante de « lisse-lame-la-hic ».
La représentante fixe la caméra principale dans l’oeil et déclare :
« Ni vendues ni achetées, nous sommes des personnes qui venons de partout, et qui sommes, comme vous le savez, attachées à la francité.
Pour nous, « lisse-lame-la-hic » est un mariage d’amour de la diversité et de la francité justement.
Ce mariage, c’est la marche qui continue, sous les hospices[7] de la République ».
Plus d’une fois, le tonnerre d’applaudissements a fait croire à l’explosion d’une « bombe islamiste », et les lieux ont été évacués pour faire « bien » !
Les « intégmilés » de ce genre, femelles et mâles ou mâles et femelles, ne cessent de « prospérer » !
Ils veulent être des « battants » et font ce qu’ils peuvent pour plaire au « dominant ». Lorsqu’ils parlent ou écrivent, ils ont recours à des termes recherchés parce qu’ils ont toujours peur de ne pas être à la « hauteur ».
Ils déclament sur tous les tons et conjuguent à tous les temps leur allégeance au « dominant ».
Ils ont des origines de pays dits « arabo-musulmans ».
Le « dominant », rejetant l’Islaam et le combattant depuis toujours ─ et encore plus en ces temps où tout est mis en oeuvre pour s’attaquer partout aux croyants et aux croyantes[8] accusés de tous les maux ─ leur offre l’occasion, en leur qualité de « musulmans », de s’exprimer et de soutenir que « le déclin des musulmans est dû principalement à l’Islam […] empêchant ses adhérents de participer au progrès de l’humanité […] ; en conséquence, plus vite les peuples musulmans seront émancipés des croyances et des règles sociales de l’Islam pour adopter le mode de vie de l’Occident, mieux cela vaudra pour eux-mêmes et pour le reste du monde… »[9]
Ces « intégmilés » participent aux agressions contre l’Islaam, mais prétendent militer pour la « rénovation » afin de faire triompher un « islam modéré », « cartésien », « rationnel », « civilisé », « laïc ».
Le « dominant » leur ouvre les médias qui « comptent », les maisons d’édition « sérieuses », les cercles de « qualité » et les voilà qui veulent en finir avec les « les islamistes », les « salafistes », les « djihadistes », les « terroristes », les « indigènes », les « ignorants », les « fanatiques », les « obscurantistes », pour renforcer la « libération de la femme », et tout le toutim ![10]
Leurs enseignants, « français de souche »,[11] leur balisent le parcours, afin d’emprunter de « nouveaux sentiers ».
À la télévision, dans les locaux d’autres médias, dans ceux du B.A.I.,[12] des services de renseignements, d’espionnage, de contre-espionnage, de suivi des « mouvances islamistes », ils sont chez eux.
Ils sont intarissables sur la « charia »,[13] la « fatwa »,[14] le « tchador »,[15] le « jihad »[16] et se relaient pour mettre en garde contre « l’antisémitisme » et « l’islamisme » !
Ils reçoivent de l’argent de multiples officines pour débiter des insanités, ressasser d’inter-minables insultes et entretenir l’imposture.
Intervenants « sans frontière », ils apprécient les « chèques arabes » et se pressent pour servir comme « islamologues » auprès de « dirigeant des États dits musulmans ».[17]
Avec eux, les « intégmilés » sont satisfaits de la place qui leur est concédée.
Ils bénéficient même de certains emplois de porte-serviettes « élus » dans diverses institutions où des os de porc à ronger leur sont réservés.
Ils sont incités bien entendu à se combattre mutuellement afin qu’émergent les plus attachés à ces os de la « Ré-pub-lique », de ses organisations d’extrême gauche, de gauche, du centre, de droite, d’extrême droite et de tout ce qui con-tribue à la tambouille de la « difirsiti ».[18]
Ils sont estampillés « la hic »,[19] mangent du « couscous au saucisson »,[20] boivent de l’« alcool à la menthe »,[21] et sont adeptes de la fornication et de l’adultère,[22] « afic dii bites miou qu’ou blid ».[23]
Ils n’empochent pas les mêmes sommes, mais dit un des leurs, boulitizi[24] :
─ « Si ni ba coum li zoutr, mi si ni ba illigal siloun li saint dika ».[25]
Il n’y a pas si longtemps, je me suis trouvé en groupe, en train d’écouter un « instruit »[26] parmi ces « musulmans » de sirfis[27] :
─ « Voyez-vous, la broublimatic[28] de lisse-lame est à situer dans le con-texte[29] économico-politique, socio-culturel, historico-linguistique, sans négliger les caractéristiques géographico-climatiques et les aspects de représentation et autres.
Sou finoumin[30] où tout s’enchevêtre et où la confusion règne, s’analyse forcément, à plusieurs degrés.
Li broumi digri[31] se divise en trois points qui eux-mêmes se subdivisent en trois catégories.
Le premier degré du premier point dans la première catégorie, soulif[32] ce que le con-frère[33] appelle, en usant d’une sémantique conne-nue,[34] les « hachchachines », les assassins c'est-à-dire les tirouristes[35]… ».
Interruption.
Pause publicitaire.
Musique laïque.
Une femelle sensuelle.
Un sexe à piles.[36]
Une salle de « massages ».
Un corps nu.
Une petite culotte.
La femelle montre un tampon hygiénique et annonce d’une voie veloutée :
─ Le bonheur c’est comme un doigt.
Vous l’introduisez et c’est la fin des soucis !
Avec le tampon hygié-nique kon-cho, vous profitez pleinement de la liberté.[37]
BOUAZZA
[1] Contraction des mots "intégrés" et "assimilés".
Se reporter à mes textes intitulés "Ni vendues ni achetées", "Intégmilation", "Soumission", "Les experts", " Cul-ture", "Musulmans couscous".
[2] Femelles d’origine de pays dits arabes, appelées ainsi ("beurs" pour les mâles) pour effacer de leur mémoire le mot "arabe".
Le mérite de cette "trouvaille" (s’appuyant sur ce le soi-disant "verlan") revient à la gauche, aux socialos, du temps de leur tonton François Mitterrand et de l’équipe de propagande dite "touche pas à mon pote".
Dans la guerre contre les croyants et les croyantes, toutes les armes sont mobilisées depuis des lustres, et les mots sont une arme des plus redoutables.
[3] Qui consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
[4] L’Islaam laïc.
[5] Bureau des Affaires Indigènes.
L’appellation est maintenant "autre", mais c’est du contenu qu’il est question.
[6] C'est-à-dire lire le texte préparé par le B.A.I.
[7] Auspices.
[8] Almouminoune wa almouminaate.
[9] Muhammad Asad, Le chemin de la Mecque, Paris, Fayard, 1976, P. 176,177 (l’auteur cite ces mots pour montrer le discours auquel recourent ceux et de celles qui ont combattu, combattent et combattront les croyants et les croyantes).
[10] Les services spécialisés du "dominant" ont une longue pratique de l’utilisation des "compétences" de leurs "arabes de service".
Dans les administrations, les universités, les établissements scolaires, les médias, les entreprises, les organismes de spectacles, de sport, de cultes, les associations et autres, ils continuent d’entretenir un "domaine réservé" où ils placent des "exilés d’opinion", des "réfugiés politiques", des "combattants de la liberté", des "écrivains", des "penseurs", des "philosophes", des "artistes", des "journalistes", des "intervenants" de radio, de télévision, des "militants multi-cartes" gardés parmi les accessoires utilisés et utilisables.
Ces mêmes services spécialisés "aident" les employés mis à la tête des "États" des pays dominés, dans le cadre de "l’indépendance dans l’interdépendance", à transférer en métropole, "lieu sûr", les produits des interminables pillages, malversations et autres.
Ces employés continuent de déposer chez le "dominant", une grosse partie de ce qui est usurpé.
[11] Même eux ne savent pas ce que cela veut dire !
[12] Bureau des Affaires Indigènes à l’idéologie calquée sur le modèle du Bureau des Affaires Indiennes des USA.
United States of America, les États Unis d’Amérique, fondés par des européens sur le génocide des Indiens et bâtis sur l’esclavage, les exterminations des populations y compris par l’usage de la bombe atomique, les innombrables massacres et les multiples autres agressions partout dans le monde.
À l’avant-garde du système impérialo-sioniste, les USA sont aujourd’hui la première puissance militaire et atomique, à la tête des massacres des croyants et des croyantes dans le monde entier.
[13] Achcharii’a, la législation, mais le terme est utilisé en France pour inspirer le dégoût et l’horreur !
[14] Alfatwaa, avis, mais l’usage qui en est fait en France vise à faire sentir la terreur et l’arbitraire !
[15] Terme iranien renvoyant au foulard porté par des croyantes pour se couvrir les cheveux et considéré par des "français de souche", comme une atteinte intolérable à la "libération de la femme » !
Ce foulard ne cesse de fleurir en dépit de son interdiction.
[16] Jihaad, effort, lutte, combat.
En France, le mot est employé pour parler de "guerre" livrée par les "terroristes islamistes contre la Civilisation" !
[17] Se reporter à mon texte intitulé « Des États dits musulmans ».
[18] Diversité.
[19] Laïcs.
[20] C’est moderne !
[21] Le thé à la menthe, c’est du "folklore" »!
[22] La difirsiti, ci soubir (la diversité, c’est super) !
[23] Avec des putes mieux qu’au bled.
[24] Politisé.
[25] Ce n’est pas comme les autres, mais ce n’est pas illégal selon le syndicat.
[26] Il écrit des livres, sans les « nègres » qu’il ne peut pas encore s’offrir, signe des articles, élargit sa collaboration et "saint tirisse ali riche irch" (et s’intéresse à la recherche).
[27] De service (certains disent srbice).
[28] La problématique.
[29] Contexte.
[30] Ce phénomène.
[31] Le premier degré.
[32] Soulève.
[33] Confrère.
[34] Connue.
[35] Les terroristes.
[36] Sex-appeal.
[37] Se reporter à mon texte intitulé « Ainsi parle un Musulman de France né au Maroc », 1992, p.124.
Voir :
http://raho.over-blog.com/
http://paruredelapiete.blogspot.com/
http://ici-bas-et-au-dela.blogspot.com/
http://laroutedelafoi.blogspot.com/
http://voyageur-autre.blogspot.com/
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire