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Dans Alqoraane[1] qui est la synthèse, la continuation, et le parachèvement du Message, Allaah nous dit :
« Qu’avez-vous à n’accorder à Allaah aucun respect ? »[2]
Comment pouvons-nous en effet ne pas respecter Allaah ?
« Par les chevaux[3] qui halètent.[4] Qui font jaillir des étincelles.[5] Qui montent à l’assaut à l’aube.[6] Qui font voler la poussière.[7] Et pénètrent au milieu du rassemblement ennemi.[8] L’être humain[9] est ingrat envers son Seigneur ».[10]
Comment pouvons-nous en effet être ingrats ?
« Par le soleil et par sa clarté.[11] Par la lune quand elle le suit.[12] Par le jour quand il l’éclaire.[13] Par la nuit quand elle l’enveloppe.[14] Par le ciel et par Celui qui l’a construit. Par la terre et par Celui qui l’a étendue.[15] Par l’âme et par Celui qui l’a harmonieusement façonnée.[16] Et lui a inspiré son immoralité et sa piété. A réussi celui qui l’a purifiée.[17] Et a perdu celui qui l’a corrompue ».[18]
Qu’Allaah nous aide et nous guide pour être parmi ceux qui réussissent.
J’avance dans l’impermanence d’ici-bas, vers la permanence de l’au-delà.[19]
J’aimerais tant faire entendre le murmure de l’eau qui rappelle que nous sommes à Allaah et à Lui nous retournons.[20]
« Ô vous qui croyez, pratiquez constamment la justice et soyez témoins pour Allaah fût-ce contre vous-mêmes ou contre vos père et mère et les proches parents. S’il s’agit d’un riche ou d’un pauvre, Allaah Est plus apte à les prendre en considération et ne suivez pas les passions afin de ne pas dévier de la justice. Si vous tournez (autour de la vérité) ou que vous vous refusiez (à la dire), Allaah Est au courant de ce que vous faites ».[21]
Je fais partie d’une « famille »[22] que j’appelle une « famille décomposée »,[23] et je viens d’un « pays »[24] où dans leurs relations, beaucoup de personnes cultivent, depuis des lustres, le « non-dit » qu’elles habillent de bavardages stériles, creux, vides et mensongers.
Les combines et les magouilles n’épargnent aucun domaine.
Cette attitude est tellement ancrée qu’elle est même transmise comme un « savoir », un « capital », une « richesse », un « patrimoine ».
C’est du « tribalisme » et du « clanisme » qui alimentent et entretiennent des dysfonctionnements graves.
Du « tribalisme » et du « clanisme » qui se parent de n’importe quoi pour que n’émerge pas ce qui est caché, dissimulé,enfoui, camouflé, masqué, travesti.[25]
S’opposer à ce « tribalisme » et à ce « clanisme », c’est s’exposer à subir l’incompréhension, le rejet, l’insulte et autres.
C’est faire face à un fléau qui accentue les dégâts au sein de la société, principalement parmi des membres de familles décomposées.[26]
Les personnes attachées à ce « tribalisme » et à ce « clanisme » s’appuient sur le faux, derrière un masque d’emprunt, « Baach ibqaa lwjh hmr ».[27]
Les codes et les rituels qui sous-tendent ces agissements parfois dévastateurs, sont présentés comme une « force », alors que c’est le reflet de profondes désagrégations.[28]
Et comme Lmghrib, est dit « pays musulman », ces personnes n’ont aucune gêne à se référer à ce qui est appelé « l’islam » pour essayer de « justifier » des agissements que l’Islaam[29] rejette, dénonce, condamne et combat.[30]
Dans ma famille décomposée, j’ai essayé, sans y arriver,[31] de mettre fin à des aspects qui découlent de ce « tribalisme » et de ce « clanisme ».
Une de mes sœurs[32] a passé des années dans des procédures après son divorce pour que son fils ne soit pas « lésé » et récupère « sa part des biens de son père ».
Ce père était le fils d’un collaborateur du colonialisme français au Mghrib.
En échange de « bons et loyaux services », ce collaborateur s’est constitué un « patrimoine » provenant du dépouillage des populations de la région Zmmour[33] de Lkhmiçaate.[34]
À la fin de l’existence ici-bas du serviteur du colonialisme, ses « biens » usurpés ont été « partagés » entre des membres de sa famille décomposée.
Des enfants, dont celui qui allait devenir le mari de ma sœur, ont eu leur « part ».
Ma sœur qui a divorcé peu de temps après, s’est lancée dans un maquis dit « juridique » et s’est familiarisée avec les règles du système usurpateur de « l’indépendance dans l’interdépendance »,[35] afin d’assurer à l’enfant né de ce mariage, « ses droits sur les biens de son père ».
Le temps a passé.
Le mari a quitté l’existence ici-bas.
Mon neveu aussi.[36]
J’ai demandé à ma sœur d’abandonner les « biens »[37] devenus sa « propriété »[38] en lui « rappelant », encore une fois, que ces « biens » proviennent du dépouillage des populations par le colonialisme français et ses collaborateurs comme le grand-père de son fils.[39]
Ma sœur [40] a condamné ma position.
Elle n’a pas supporté qu’un frère puisse avoir une telle attitude, et en a profité pour vider de tout sens, nos très rares contacts.[41]
Mon frère aîné,[42] « haut fonctionnaire » à la retraite, considère encore qu’aucun membre de la fratrie ne peut lui dire quoi que ce soit au sujet de son comportement, parce qu’il est l’aîné.[43]
À soixante six ans, une autre sœur,[44] m’a montré il n’y a pas longtemps, que contrairement à ce que j’ai commencé à croire, elle a toujours du mal à se défaire de certains comportements.[45]
Avec la fin des existences ici-bas de ma mère et de mon père,[46] j’ai essayé d’établir des contacts avec des frères, des sœurs, et avec d’autres,[47] en dépit de certains « blocages ».
Je voulais essayer d’établir des rapports « autres ».
Ma démarche n’a pas modifié grand-chose à la situation d’avant.
Je tiens à souligner je ne cherche pas du tout à gommer des méfaits dont je suis responsable.
Je n’ai jamais cherché à le faire.
J’ai péché et je risque à tout instant de pécher.
Je sais que mes péchés sont innombrables.
Je l’ai toujours su, et je n’ai jamais cherché à les minimiser.
Je garde l’espoir qu’Allaah me pardonne.
Je l’invoque pour qu’Il accepte mon repentir.
Je l’invoque pour qu’Il efface mes méfaits, mes compromissions, mes fautes, mes faiblesses, mes insuffisances, mes incapacités et autres.
Je l’invoque pour qu’Il m’accorde l’humilité et la modestie.
Je l’invoque pour qu’Il me préserve de la cécité du cœur.
Je l’invoque pour qu’Il me défende contre les tromperies d’achchaytaane.[48]
Je l’invoque pour qu’Il me protège, m’éclaire, me guide et me couvre de Sa Miséricorde.[49]
J’ai connu l’internat à Lkhmiçaate dès l’école primaire.
Un ami de mon père s’est arrangé pour que j’y sois sans payer.
Au collège, après la première année et une partie de la deuxième année à l’internat, mon père[50] a décidé de me faire venir à Ddaar Lbiidaa où il était installé.[51]
À la fin de l’année scolaire, je suis retourné à Lkhmiçaate.
Je me suis installé chez une de mes sœurs,[52] et à la rentrée, j’ai délaissé l’internat, même si ma place y était toujours disponible.
Pour le lycée, il fallait quitter Lkhmiçaate qui n’avait à l’époque qu’un collège.
L’ami de mon père s’est arrangé encore pour que je sois boursier à Faas.[53]
Après le baccalauréat, je me suis inscrit à l’École Normale Supérieure[54] à Rbaate[55] qui accordait automatiquement un pré-salaire pour la durée des études.
Pour des raisons de santé,[56] je n’ai pas pu rester dans cette ville et à l’époque, je ne pouvais pas poursuivre ailleurs les cours de l’E.N.S.
J’ai alors quitté Lmghrib en 1970 pour entreprendre des études universitaires en France,[57] sans pouvoir obtenir le transfert du pré-salaire, que je ne pouvais pas garder en abandonnant cette École.
En France, l’aide matérielle de mon père qui était symbolique, n’a pas tardé à cesser.
J’ai dû travailler un peu, lorsque je trouvais « un petit boulot » pour avoir un peu d’argent. J’ai eu le soutien matériel de quelques personnes et d’un de mes frères plus jeune, qui est arrivé peu de temps après moi pour travailler à la chaîne d’une usine de voitures en région parisienne.[58]
« Je vivais de militantisme et d’eau fraîche » !
Suite à l’échec de ce qui a été appelé le « putsch » du 16 août 1972, et au « putsch » manqué du 10 juillet 1971, le régime[59] a décidé d’octroyer une bourse d’étude d’un bon montant, pratiquement à tous les étudiants marocains pour calmer les ardeurs « révolutionnaires ».
J’ai donc eu une bourse d’étude à la rentrée universitaire 1972-1973, bourse dont j’ai bénéficié jusqu’à mon retour au pays, sur l’insistance de mon père, en 1977.[60]
À l’arrivée au pays, il fallait d’abord effectuer pendant deux ans, ce qui était appelé « le service civil », obligatoire à l’époque pour toute personne marocaine, détentrice d’une licence de l’enseignement universitaire.[61]
Je me suis installé, avec mon épouse[62] et notre premier enfant[63] à Lkhmiçaate, dans une maison de mon père.
Avant mon arrivée, des membres de la famille décomposée qui voulaient nous empêcher d’habiter cette maison, se sont chargés de la vider et de la dégrader.
Ils ne m’ont même pas laissé un matelas par terre pour dormir avec mon épouse et notre enfant.
Les fils électriques pour mettre des ampoules ont été sectionnés, et de multiples détériorations ont été minutieusement accomplies.
Je me suis beaucoup occupé des ouvriers pour veiller sur les longs travaux que j’ai été obligé d’engager :
Réparation des fils électriques, réfection de la salle de bain, nouvelle installation d’eau pour remplacer l’installation défaillante, travaux de boiserie et de ferronnerie, construction d’une cheminée, peinture générale et autres.
En déménageant, j’ai rendu à mon père une maison[64] remise à neuf par mes soins, ceux de mon épouse et à nos frais.[65]
J’en garde, malgré tout, un bon souvenir :
Je revenais au Mghrib avec mon épouse[66] justement et notre premier enfant, et nous avons eu notre deuxième enfant[67] l’année qui a suivi.
Après cette maison nous en avons loué une dans un autre quartier, deux ans avant de quitter Lmghrib.[68]
Peu de temps après notre retour en France,[69] en 1981,[70] mon père a subi une intervention chirurgicale à Paris.
Lorsqu’il est reparti, il m’a confié vingt deux mille francs de l’époque, en me demandant de les lui envoyer plus tard, lorsqu’il me le demanderait.
Par la suite, il m’avait téléphoné afin que je remette deux mille francs à une de mes sœurs[71] qui était étudiante à Grenoble.
De passage à Paris, elle a pris contact avec moi pour cet argent.
Je lui ai donc remis deux mille francs, comme mon père me l’a demandé.
Il n’a jamais été question pour moi de m’approprier l’argent que mon père m’a confié.
Mon père continuait de dilapider un peu tout et j’avais décidé d’attendre avant de lui remettre ce qu’il a laissé en dépôt chez moi.
Il a toujours dilapidé et il a dépensé très peu pour certains de ses enfants.[72]
Compte tenu de la corruption du régime en place au Mghrib, il n’est pas très compliqué d’imaginer certaines pratiques de mon père, « haut fonctionnaire » d’une « administration » de « l’indépendance dans l’interdépendance », pour se procurer de l’argent à dilapider.
J’ai fini par lui restituer la somme que je gardais.
En Islaam, le dépôt[73] est sacré.
Il m’arrive de faire semblant d’être « naïf », en espérant que certaines personnes finiraient par essayer de réfléchir, afin de saisir qu’il faut essayer de s’améliorer.
Ma « naïveté » est interprétée comme de « l’ignorance » par ces personnes, préoccupées, entre autres, par leur ego.[74]
Pour préserver ce qui doit l’être, lorsque je n’arrive pas à faire autrement, je mets de la distance, je recours à la technique de tourner le dos, je m’éloigne, je fuis.[75]
« […]. Lorsque l’esprit des hommes te paraîtra étroit, dis-toi que la terre de Dieu est vaste […]. N’hésite jamais à t’éloigner, au-delà de toutes les mers, au-delà de toutes les frontières … ».[76]
S’éloigner.[77]
Fuir verbiage et vacarme.
Chercher l’humilité.
Faire de son mieux pour s’améliorer.
Allaah nous invite à nous remémorer.
Se remémorer c’est aussi être à l’écoute.
L’écoute pour apprendre.
Réapprendre.
Chercher.
S’interroger.
Réfléchir.
Voir.
Analyser.
Comprendre.
Choisir.
Agir.[78]
« Une vague vient du fond du passé et, lente, dandinante, puissante, déferle. Explose et fait exploser les souvenirs comme autant de bulles d’écume. […] .
Une autre vague vient par-dessus la première et fulgure. Etincelle et ruisselle d’une vie nouvelle. Sans nombre, débordant par-delà les rives du temps, de l’éternité à l’éternité d’autres vagues naissent et meurent, se couvrant et se renouvelant, ajoutant leur vie à la vie. D’aussi loin qu’on les entende, toutes ont la même voix, répètent le même mot : paix, paix, paix … »[79]
De son vivant, mon père[80] a été dépouillé de quelques maisons et de beaucoup d’autres « biens » par des membres de ma famille décomposée.
Des enfants de la troisième épouse[81] se sont spécialisés dans le domaine du dépouillage au sein de la famille.
Après le décès de mon père, j’ai envoyé à ma belle-mère un document me désistant en sa faveur[82] de tout ce qui pourrait me revenir dans un éventuel règlement de la « succession ».[83]
Je ne lui ai pas répété ce qu’elle n’ignore pas sur les pratiques blâmables relatives à l’acquisition d’un « bien ».
Je n’ai pas cherché non plus à lui rappeler ce qu’elle sait parfaitement, c’est à dire tout ce qui a été soutiré au défunt par mille et un moyens avant son départ pour l’au-delà et de ce qui perdure.[84]
Je n’ai pas plus parlé de ce qu’elle ne peut pas nier, à savoir la mainmise sur des « biens », et les agissements de certains de ses enfants, qui continuent sans gêne leur manège.[85]
Ces enfants ont eu recours à l’usurpation pour voler notre père pendant son existence ici-bas et se sont attribués des « droits » qu’ils continuent d’exercer sur ce qui ne leur appartient pas.
Le fils aîné[86] de cette belle-mère, est toujours, à cinquante huit ans, dans « la toute puissance »[87] comme disent les « psy » ici, en France.[88]
En usurpateur, il s’est accaparé de beaucoup de « biens » du vivant de mon père, et principalement d’une maison dont il cherche à évincer sa mère qui y vit encore aujourd’hui, et qui avait soixante quinze ans en 2010, lorsqu’il a essayé de vendre ce « bien »[89] acquis suite à des falsifications.
Revenons un peu en arrière.
En 1973, je me suis marié en France.[90]
Mon père exerçait ses activités à Mknaas,[91] où je me suis rendu avec mon épouse.
Au bout de quelques jours, mon père qui aimait le Sud m’a fait savoir qu’il serait bon que nous fassions, mon épouse et moi, un séjour à Agaadiir, en tant que jeunes mariés.[92]
Le fils aîné de la troisième épouse était lycéen, encore mineur, mais avait déjà une voiture[93] et a eu l’année d’après, tout en étant toujours mineur,[94] une procuration[95] afin de disposer, entre autres, de l’argent à sa guise.[96]
Il s’était « proposé »[97] pour nous conduire dans le Sud.
Mon père lui avait remis le nécessaire pour les frais du voyage et du séjour.
Mais ce fils ne s’est pas gêné pour nous pousser à prendre en charge toutes les dépenses.[98]
Il savait que je n’allais rien lui demander, et en a profité, comme il l’a toujours fait avec tout le monde.[99]
Allaah nous dit dans Alqoraane :
« Ô vous qui croyez ![100] Ne prenez pas vos pères et vos frères comme alliés[101] s’ils préfèrent la mécréance[102] à la foi.[103] Celui d’entre vous qui les prend comme alliés, ceux-là sont les injustes.[104]
Dis : « Si vos pères, vos enfants, vos frères, vos épouses, vos clans, [105] des biens que vous avez gagnés,[106] un négoce dont vous craignez le déclin[107] et des habitations où vous vous plaisez[108] vous sont plus chers qu’Allaah, que Son Messager et que le combat dans Son sentier,[109] attendez alors[110] qu’Allaah apporte Sa décision ».[111] Et Allaah ne guide pas les gens pervers ».[112]
BOUAZZA
[1] Le Coran.
[2] À ne pas vénérer Allaah comme il se doit ?
Maalakome laa tarjoune lillaah waqaara ?
Alqoraane (Le Coran), sourate 71 (chapitre 71), Nouh, Noé, aayate 13 (verset 13).
[3] Les coursiers.
[4] Wa al’aadiyaate dabhaa.
Par les chevaux qui galopent en faisant entendre un râle.
[5] Falmouriyaate qadhaa (le "r" roulé).
[6] Falmoughriyaate sobhaa (le "r" roulé).
Qui attaquent le matin.
[7] Fa-a-tharna bihi naq’aa.
Ils soulèvent ainsi chez l’ennemi un nuage de poussière.
[8] Fawaçatna bihi jam’aa.
Et pénètrent au centre de la troupe ennemie.
[9] Al-i-nçaane.
[10] Inna al-i-nççane lirabbih lakanoud (le "r" roulé).
L’Homme est assurément plein d’ingratitude envers son Seigneur.
Alqoraane (Le Coran), sourate 100 (chapitre 100), Al’aadiyaate, Les Chevaux qui Galopent, aayate 1 à aayate 6 (verset 1 à verset 6).
Se reporter à mon texte intitulé "Atteinte à la sûreté de l’État".
[11] Et par ses lueurs matinales.
[12] Quand elle vient après lui.
[13] Quand il le refait paraître dans toute sa splendeur.
[14] Quand elle le recouvre de son voile.
[15] Et par Celui qui a aplani sa surface.
[16] Par un être vivant et par Celui qui l’a fabriqué dans une harmonie parfaite.
[17] A récolté le succès celui qui l’a purifiée.
[18] Et a échoué celui qui n’a pas laissé son humanité s’épanouir.
Dans une note en bas de page, Kachriid précise que le verbe "dassa" en arabe veut dire cacher, empêcher de paraître au grand jour.
L’être humain étant à l’origine d’essence divine, son humanité est l’ensemble de toutes les vertus et noblesses.
Celui qui suit la voie de l’immoralité est comme celui qui a empêché sa bonne nature d’éclater au grand jour pour ne montrer que sa fausse nature inspirée par achchaytaane, satan, et les passions charnelles.
Salaah Addiine Kachriid (Salah Eddine Kechrid), traduction du Qoraane (Coran), Lobnaane (Liban), Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaamii, cinquième édition, 1410 (1990), première édition, 1404 (1984), p. 809.
Wa achchamçi wa dohaahaa. Wa alqamari idaa talaahaa. Wa annahaari idaa jallaahaa. Wa allayli idaa yaghchaahaa. Wa assamaa-i wa maa banaahaa. Wa alardi wa maa tahaahaa. Wa nafçine wa maa sawwaahaa. Fa-alhamahaa fojourahaa wa taqwaahaa. Qad aflaha mane zakkaahaa. Wa qad khaaba mane dassaahaa.
Alqoraane (Le Coran), sourate 91 (chapitre 91), Achchamç, Le Soleil, aayate 1 à aayate 10 (verset 1 au verset 10).
Se reporter à mon texte intitulé "De Source Sûre".
[19] Se reporter à mes textes intitulés "Avancer"et "J’avance".
[20] Se reporter à mes textes intitulés "Ni d’Orient ni d’Occident", "De Source Sûre" et "S’améliorer".
[21] Yaa ayyohaa alladiina aamanou kounou qawwaa miine bilqiste chohadaa-e lillaah wa law ‘alaa anfoçikome aw alwaalidayne wa alaqrabiine. Ine yakone ghaniyy aw faqiir fa-inna Allaah awlaa bihimaa wa laa tattabi’ou alhawaa ane ta’edilou. Wa ine talwou aw to’eridou fa-inna Allaah kaane bimaa ta’emaloune khabiir.
Alqoraane (Le Coran), sourate 4 (chapitre 4), Anniçaa-e, Les Femmes, aayate 135 (verset 135).
[22] La famille à laquelle je souhaite être rattachée est la famille des croyants et les croyantes, almouminoune wa almouminaate.
[23] J’ai déjà mis sur "le net" de nombreux textes qui traitent des points que je reprends.
[24] Almaghrib, Lmghrib (le "r" roulé), le Maroc.
[25] Mais tout finit par se savoir.
[26] Qui son légion au Mghrib.
[27] Le "r" roulé.
Pour que le visage reste rouge, pour sauver la face, pour garder la tête haute.
[28] Se reporter à mon texte intitulé "Le tort d’avoir raison".
[29] L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
[30] Se reporter à mes textes intitulés "Tribalisme" et "clanisme", "Des États dits musulmans", "Encore sur les États dits musulmans", et "Musulmans couscous".
[31] Avec mon père, des frères, des sœurs et autres.
[32] La fille aînée de ma mère, âgée de soixante huit ans.
Concernant ma mère qui a été divorcée, et à laquelle, comme ses autres enfants, j’ai été arraché, j’ai commencé à lui rendre visites lorsque je suis devenu adolescent.
Une humble habitation paysanne au lieu-dit ‘Iicha Mllouk, à quelques kilomètres de Tiddaas, en région Zmmour, dans la direction de Walmaas.
Je m’y rendais, devancé par mon cœur.
Je partais du souq de Tiddaas, à travers la campagne.
À pied ou à dos de mulet.
Le soir, les étoiles qui embellissaient le ciel étaient dans les yeux de ma mère.
Son silence disait l’Essentiel.
Elle ne savait pas lire et ne savait pas écrire.
Elle s’exprimait en regards, en gestes, en silences.
Elle parlait peu.
Quand elle riait, son rire sentait l’aube de la Vie.
J’observais.
J’apprenais à déchiffrer la calligraphie qui m’était offerte.
Saisir le Sens.
Renforcer le Lien.
Elle savait, de Source Sûre, d’où elle venait, et où elle allait.
D’ici, je la contactais assez régulièrement par téléphone.
Il m’arrivait de lui donner certaines précisions relatives à notre Foi.
Lorsque le jeûne (assawme) par exemple pouvait être préjudiciable à sa santé parce qu’elle n’avait plus la force physique de jeûner pendant le mois de ramadaane, elle était préoccupée.
Je lui rappelais alors qu’il n’y a pas de contrainte en Islaam et qu’Allaah dans Sa Générosité dispense du jeûne les croyants et les croyantes qui ne sont pas en mesure de jeûner.
Pour cette dispense, je n’oubliais pas de l’inviter à offrir, pour chaque jour du mois de ramadaane, à une personne dans le besoin, un repas le soir ou l’équivalent de ce repas en argent.
S’agissant de la Prière (assalaate), lorsqu’elle avait du mal à utiliser l’eau pour faire ses ablutions, je lui rappelais qu’elle pouvait recourir aux ablutions dites pulvérales (attayammome) et qu’elle pouvait prier assise ou allongée si son état ne lui permettait pas de faire autrement.
Se reporter à mes textes intitulés "Ma mère", "Innaa lillaah wa innaa ilayh raaji’oune" et "Et toi ta mère ?"
[33] Le "r" roulé, Zemmour.
La région de ma mère, et aussi de mon père par "adoption".
[34] Khémisset.
[35] Statut octroyé par le colonialisme qui s’est traduit dans les colonies, par la multiplication des "États" supplétifs, subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission, et de servilité dans l’exécution des ordres des métropoles.
Se reporter à mon texte intitulé "l’indépendance dans l’interdépendance".
[36] Son existence ici-bas s’est achevée dans un accident de la route.
[37] Terres aujourd’hui incluses dans ce qui est appelé le "périmètre urbain" et qui valent par conséquent beaucoup d’argent.
Se reporter à mon texte intitulé "Héritage".
[38] Par des combines et des magouilles.
[39] Les croyants et les croyantes commandent le convenable et proscrivent le blâmable.
Se reporter à mes textes intitulés "Le convenable et le blâmable", "Changement", "Appeler un chat un chat", "Qu’Allaah nous soutienne" et "Dans la Voie d’Allaah".
[40] Enseignante, aujourd’hui à la retraite.
[41] Mon neveu et ma nièce, ses enfants nés d’un autre mariage, ne se préoccupent pas, d’avoir des rapports avec moi.
D’autres descendants de ma famille décomposée et de leurs parents non plus.
[42] Le fils de la première épouse de mon père.
Âgé de soixante douze ans, il a fait des études universitaires en France.
[43] Se reporter à mes textes intitulés "Dctor dial lkhraa", "Encore sur dctor dial lkhraa", "Réponse" et "Nous avançons".
[44] Infirmière à la retraite.
[45] Se reporter à mon texte intitulé "Livres".
[46] Qui ont eu lieu le samedi 28 juin et le samedi 04 octobre 2008 selon le calendrier dit grégorien.
[47] Sans cautionner ce qui ne doit pas l’être.
[48] Satan, ibliis.
[49] Se reporter à mes textes intitulés "Invocation", "Avancer", "S’améliorer".
[50] Se reporter à mes textes intitulés "Mon père", "La certitude (suite)", "La certitude encore", "La meilleure provision".
[51] Le "r" roulé, la maison blanche, Casablanca.
[52] Deuxième enfant du premier mariage de mon père, décédée à l’âge de 28 ans.
Se reporter à mon texte intitulé "Ma soeur".
[53] Fès.
Se reporter à mon texte intitulé "La meilleurs provision".
[54] E.N.S.
[55] Le "r" roulé, Rabat.
[56] Comme à Casablanca, je ne supportais pas le climat humide du littoral qui était, disaient les médecins, la cause de mes crises d’asthme.
[57] Se reporter à mon texte intitulé "Le bachelier".
[58] Il est retourné au Maroc au bout de peu d’années.
Avec un beau frère, nous avons fait des démarches afin qu’il passe un concours pour devenir fonctionnaire.
Il a pris sa retraite il y a quelques années, comme cadre de "la fonction publique".
[59] Sultanat tyrannique et criminel, transformé par le colonialisme français, son protecteur, en "monarchie héréditaire de droit divin" tyrannique et criminelle.
[60] Se reporter à mon texte intitulé "Dans l’autre sens".
[61] Après la période du "service civil", et non sans hésitation, j’ai accepté d’être "avocat stagiaire" dans le cabinet ouvert par mon père à Lkhmiçaate à la fin de son parcours de "magistrat".
J’ai voulu peut-être "rattraper le temps perdu", essayer de construire ce qui n’a pas été construit.
Tentative sans succès.
Je suis reparti en France à la moitié du "stage".
[62] Se reporter à mon texte intitulé "Mon épouse".
[63] Se reporter à mon texte intitulé "Mars 1975".
[64] Qui a été occupée quelques années après mon retour en France par le deuxième fils de la troisième épouse de mon père, et qui l’occupe toujours.
Le rez-de-chaussée a été transformé en café.
Il n’a pas pu le gérer et un autre fils de cette belle-mère s’est chargé de le louer à son profit, et continue de le faire.
Ce fils s’est accaparé, du vivant de mon père, d’une maison au bord de la mer, appartenant à mon père, et a procédé à sa vente en falsifiant des papiers et en ayant recours au faux et à l’usage de faux.
[65] En dépit de nos faibles moyens.
[66] Lors de mon retour à Lkhmiçaate de 1977 à 1981, j’ai pu obtenir avec l’aide d’un ami de mon père, un poste d’enseignante contractuelle pour mon épouse, au lycée Mouçaa Ibn Noçayr (le "r" roulé).
Détentrice d’une maîtrise d’italien (langue qu’elle a enseignée dans un collège en France) et d’une licence de français, elle a interrompu son activité d’enseignante en France pour m’accompagner.
Le lycée Mouçaa Ibn Noçayr était au tout début une école primaire dite "franco-musulmane", au temps du colonialisme français.
Un collège s’y est ajouté plus tard.
C’est l’établissement où j’étais élève lorsqu’il ne disposait pas encore de lycée.
De retour en France, mon épouse a eu un poste d’enseignante dans le secondaire, jusqu’à sa retraite.
[67] Se reporter à mon texte intitulé "Septembre 1978".
[68] Se reporter à mes textes intitulés "Évasion", "Achitii libiratioune" et "Ainsi parle un Musulman de France né au Maroc".
[69]Je ne suis pas dans « la justification » à posteriori, en disant que j’ai quitté le Maroc pour l'atmosphère avilissante entretenue et répandue par un régime corrompu, fondé sur le crime, et maintenu par l’impérialo-sionisme.
Se reporter à mes textes intitulés "Évasion", "Imposture", "La cendre qu’emporte le vent","Achitii libiratioune".
[70] François Mitterrand venait d’être installé sur le trône du Palais de l’Élysée comme Président de gauche de la République, et il a gardé ce trône jusqu’à 1995, année où son alter ego de droite, jacques Chirac, y a été installé.
[71] Sixième enfant de la troisième épouse.
[72] Se reporter à mon texte intitulé "Pour ce qui me concerne", et à mon CD intitulé "Se souvenir de demain…".
Deux enfants de la première épouse (un garçon et une fille), et cinq de la seconde, ma mère (trois fille et deux garçons).
Avec la troisième épouse, mon père a eu huit enfants (cinq garçons et trois filles).
Mon père a épousé une autre femme pendant sa retraite et ils ont eu deux enfants (une fille et un garçon).
En parlant des enfants, il n’est peut-être pas inutile de rappeler qu’après avoir été divorcée par mon père, la première épouse s’est remariée et a eu un enfant (un garçon).
Et de son remariage, ma mère a eu quatre enfants (trois filles et un garçon).
Lorsque ma mère a été divorcée par mon père, tous les deux se sont remariés et ont eu d’autres enfants.
Pour mon père, ce fut le troisième mariage, et pas le dernier !
Ma mère a épousé en deuxième et dernières noces son cousin et ont vécu en paysans pauvres, pleins d’humilité, généreux, fidèles, solidaires, dignes, nobles.
Ils ont eu quatre enfants.
Trois filles et un garçon.
Mes sœurs et mon frère.
J’aimais leur humble demeure.
Je m’y rendais autrefois.
Mon frère poursuit l’échange avec la terre.
Dans un profond respect.
Et la relation avec le troupeau.
Il connaît le cheptel, et le cheptel le connaît.
Je suis en contact assez régulier avec lui par téléphone.
Son fils aîné que j’ai connu âgé de quelques années, fait aujourd’hui des études de médecine.
Se reporter à mon texte intitulé "Le berger".
Avec une autre femme, mon père a eu un garçon que j’ai rencontré à Paris, après le décès de mon père.
À ma connaissance, sans compter ma soeur décédée en 1970, j’ai vingt frères et sœurs.
Mon père a eu peut-être d’autres enfants que je ne connais pas.
[73] Alamaana.
[74] Aujourd’hui, à soixante deux ans, je peux dire que dans beaucoup de cas, je n’ai pas su me faire comprendre et que je ne peux pas être compris par des personnes qui considèrent que je n’ai rien à leur dire.
[75] C’est un comportement qui ne s’applique pas seulement à des membres de ma famille décomposée, mais qui s’étend à divers domaines lorsque je considère que je ne peux pas faire autrement.
[76] Amin Maalouf (Amiine Ma’louf), Léon l’Africain, Éditions Jean Claude Lattès, Paris 1986, p. 473.
[77] Se reporter à mon texte intitulé "S’éloigner".
[78] Se reporter à mon texte intitulé "Remémoration".
[79] Driss Chraïbi (Driis Chraaïbii), la Civilisation ma Mère !..., Éditions Denoël, Paris, 1972, P.13-14.
[80] À qui je rappelais assidûment ce que le Message d’Allaah nous apprend, en l’invitant à faire de son mieux pour suivre ce Message et Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
Il avait du mal à concevoir qu’un fils puisse rappeler quoi que ce soit à son père.
Mais qu’en était-il au fond de lui-même ?
Seul Allaah connaît l’intimité des cœurs.
Se reporter à mon texte intitulé "Que pensait-il ?".
Beaucoup de membres de ma famille décomposée ont estimé, et estiment, que je n’ai rien à leur rappeler.
Ils "ne le disent pas", c’est du "non-dit" assourdissant.
Qu’Allaah nous éclaire et nous guide.
[81] Se reporter à mon texte intitulé "Ma belle-mère".
[82] Et lui laissant ainsi la responsabilité de refuser ou d’accepter d’être associée à une "succession" viciée à la base.
[83] Le règlement de la "succession" n’est pas intervenu.
Au Maroc, pays décomposé, une "succession" se " règle" en conformité avec ce qu’impose la décomposition qui y règne.
[84] Le non règlement de la "succession" permet la continuation des combines et des magouilles.
[85] Se reporter à mes textes intitulés "Libération" et "Donation".
[86] Installé en France depuis longtemps.
Il a fait des études universitaires dans ce pays.
[87] Se reporter à mes textes intitulés "Libération", "Héritage", "Usurpateurs", "Encore sur les usurpateurs", "Échecs", "Famille décomposée", "Donation", "Ziid, ziid", "Bermudas", "Falsifications", "Supercheries toujours".
[88] La Toute Puissance n’appartient qu’à Allaah.
L’expression utilisée par les "psy" s’applique à la personne atteinte de la pathologie qui consiste à "s’auto-glorifier" quoi qu’il arrive, à la personne gonflée de suffisance.
[89] Dans le domaine de l’accaparement, des frères plus jeunes que lui, se sont aussi accaparés de beaucoup de "biens", y compris de maisons.
[90] Se reporter à mon texte intitulé "Juillet 1973".
[91] Meknès.
[92] Il avait tout prévu avant notre arrivée.
[93] Il en a eu d’autres par la suite, encore au lycée, puis à l’université et après, payées avec l’argent pris à mon père.
Une de ces voitures était à mon épouse, et je n’ai pas souvenir de son paiement.
Lorsqu’il l’avait usé, il l’a fourgué à une sœur plus jeune à un prix presque trois fois plus cher que celui que mon père devait payer à mon épouse.
Cette sœur n’avait pas besoin de ce véhicule qu’il lui avait imposé en sachant qu’il pouvait par ce biais, soutirer de l’argent au mari.
[94] L’âge de "la majorité" à l’époque était à vingt et un ans.
[95] Sur laquelle sa date de naissance est falsifiée (il s’est lancé tôt dans le blâmable, et le fait de retourner un peu en arrière, permet de constater la continuité dans ce domaine).
[96] Lorsque mon père est décédé, ce fils de la troisième épouse avait en sa possession les coordonnées de presque une dizaine de comptes bancaires de mon père.
[97] Cela aussi était prévu, bien sûr.
[98] Il n’a pas eu de gêne non plus pour falsifier les faits en soutenant qu’il a dépensé pour nous tout ce que mon père lui a demandé de dépenser pour le voyage et le séjour.
[99] Mon père qui était habitué à se faire dépouiller par des enfants de la troisième épouse, achetait en fait une certaine "tranquillité" dans "le couple".
Plus tard, il a chargé un autre fils de la troisième épouse, en sachant qu’il allait également le dépouiller, d’emmener mes deux enfants à Agaadiir.
Ce fils s’est accaparé de l’argent, et n’a dépensé pour mes enfants que le strict minimum.
Lui aussi a usurpé une maison de mon père, qu’il a vendue du vivant de celui-ci, en procédant à des falsifications, à des combines et à des magouilles auxquelles il a encore recours pour continuer de s’accaparer de revenus qui font partie de la "succession" dont il souhaite le non règlement.
Un autre s’est accaparé d’une maison qu’il occupe depuis plus de vingt ans et ne tient pas non plus, à ce que la "succession" soit "réglée".
[100] Yaa ayyohaa alladiina aamanou.
[101] Amis intimes.
[102] Alkofr (le "r" roulé).
[103] Aliimaane.
[104] Oulaa-i-ke home addaalimoune.
[105] ‘Achiiratokome (le "r" roulé), vos familiers.
[106] Iqtaraftomouhaa (le "r" roulé).
[107] Un commerce dont vous craignez le marasme.
[108] Et des demeures qui vous sont agréables.
[109] Le sentier d’Allaah.
[110] Fatarabbasou (le "r" roulé).
[111] Qu’Allaah fasse venir Son ordre (l’accomplissement de Sa menace).
[112] Wa Allaah laa yahdii alqawme alfaasiqiine.
Alqoraane (Le Coran), sourate 9 (chapitre 9), Attawba, Le Repentir, Le Retour à Allaah, aayate 23 et aayate 24 (verset 23 et verset 24).
Voir :
http://raho.over-blog.com
http://paruredelapiete.blogspot.com
http://ici-bas-et-au-dela.blogspot.com
http://laroutedelafoi.blogspot.com
http://voyageur-autre.blogspot.com