Il y avait affluence dans le métro
Les usagers qu’il m’est déjà arrivé de décrire[1]changent peu.
Des mines froissées.
Des femelles et des mâles se tripotaient et s’introduisaient mutuellement la langue dans la bouche.[2]
D’autres femelles, sorties de ghettos,[3] des « beurettes »,[4] dites « émancipées et libérées » riaient bruyamment, s’esclaffaient, répandaient la vulgarité, usaient d’un langage corporel invitant à la débauche et se montraient « fières » d’être irrespectueuses, impudiques.[5]
Des culs étaient collés à des sexes.
Des mains étaient prises entre des fesses.
C’était l’heure de pointe.
Celles et ceux qui voulaient monter à l’arrêt, coinçaient ceux et celles qui voulaient descendre.
Les émanations variées, les secousses multiples, le bruit de la machine et autres étaient au rendez-vous.
À chaque arrêt, des affiches le long du quai étalaient la femelle-modèle, en objet sexuel, support pour tout vendre dans la société de con-sommation.[6]
Instant de répit ?
Songe ?
Vision ?
Une femme en habit long et foulard,[7] discutait avec un homme barbu.
Échanges sur Soumayya.[8]
Qu’Allaah nous éclaire et nous guide.[9]
BOUAZZA
Les usagers qu’il m’est déjà arrivé de décrire[1]changent peu.
Des mines froissées.
Des femelles et des mâles se tripotaient et s’introduisaient mutuellement la langue dans la bouche.[2]
D’autres femelles, sorties de ghettos,[3] des « beurettes »,[4] dites « émancipées et libérées » riaient bruyamment, s’esclaffaient, répandaient la vulgarité, usaient d’un langage corporel invitant à la débauche et se montraient « fières » d’être irrespectueuses, impudiques.[5]
Des culs étaient collés à des sexes.
Des mains étaient prises entre des fesses.
C’était l’heure de pointe.
Celles et ceux qui voulaient monter à l’arrêt, coinçaient ceux et celles qui voulaient descendre.
Les émanations variées, les secousses multiples, le bruit de la machine et autres étaient au rendez-vous.
À chaque arrêt, des affiches le long du quai étalaient la femelle-modèle, en objet sexuel, support pour tout vendre dans la société de con-sommation.[6]
Instant de répit ?
Songe ?
Vision ?
Une femme en habit long et foulard,[7] discutait avec un homme barbu.
Échanges sur Soumayya.[8]
Qu’Allaah nous éclaire et nous guide.[9]
BOUAZZA
[1] Se reporter à mon texte intitulé "Ainsi parle un Musulman de France né au Maroc", p. 127à 134, daté de 1992, et à un autre texte intitulé "Urbi et orbi".
[2] Il arrive que des femelles et des mâles de ce genre regagnent "le domicile con-jugal", retrouvent l’époux ou l’épouse, des enfants à "éduquer", cul-tivent la "fidélité" et l’"assistance" au con-joint ou à la conne-jointe (proclamation faite le jour du mariage), parlent d’"amour" et jouent à la "famille".
[3] "Cités de banlieue" où sont parquées en majorité des populations originaires d’Afrique du Nord et du reste de l’Afrique, issues du processus migratoire de "l’indépendance dans l’interdépendance".
Certaines personnes provenant de ces "cités" dites de rebut, de désagrégation, de décomposition et de trafics multiples, sont prêtes à tout pour s’installer ailleurs, mais n’arrivent pas à se départir de leur tendance à transformer les endroits où elles s’établissent en dépotoirs.
Pour ne pas admettre cette déviance et d’autres qu’elles refusent de corriger, elles ne cessent de disserter sur le clinquant, de s’embourber dans le bavardage ostentatoire, de s’attribuer des qualités qu’elles n’ont pas, de recourir à la manipulation et d’user de n’importe quel artifice afin de mieux se servir de ceux et de celles qui se laissent entuber.
Se reporter à mon texte intitulé "Se reconstruire".
[4] Dans la guerre livrée à l’Islaam, les vocables "beurs" au masculin, "beurettes" au féminin, supposés vouloir dire "arabes" en verlan et "musulmans" en islamophobie, traduisent le mépris des mots "musulmans" et "arabes".
Se reporter à mon texte intitulé "Des maux".
[5] Les adeptes de "l’intégmilation" (contraction des mots intégration et assimilation) brandissent les "beurettes" impudiques comme intégmilées et soulignent la réussite de "l’émancipation et de la libération".
Se reporter à mes textes intitulés "Intégmilation" et "Intégmilés".
[6] S’écrit aussi consommation.
[7] Face aux agressions de toute sorte, avec des dénonciations enragées de ce "signe de l’aliénation" comme l’appellent les ennemis d’Allaah, des croyantes continuent la Résistance et font de leur mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
[8] Résistante de l’Islaam au début de la Mission de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
Elle a été assassinée après d’horribles tortures.
C’est la mère, la sœur, la fille des croyants et des croyantes dont beaucoup, ici et ailleurs, sont injuriés, humiliés, torturés, enfermés, pourchassés, liquidés parce qu’ils font de leur mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
Son époux a également été torturé et assassiné.
L’un de leurs fils a été soumis à de terribles supplices.
Qu’Allaah les bénisse et les couvre de Sa Miséricorde.
"Et ne dites pas de ceux qui sont tués dans le chemin d’Allaah qu’ils sont morts. Ils sont plutôt vivants, mais vous ne le sentez point".
Alqoraane (Le Coran), sourate 2 (chapitre 2), Albaqara, La Vache, aayate 154 (verset 154).
Se reporter à mes textes intitulés "Soumayya" et "Ce n’était pas l’heure".
[9] Voir :
http://raho.over-blog.com
http://paruredelapiete.blogspot.com
http://ici-bas-et-au-dela.blogspot.com
http://laroutedelafoi.blogspot.com
http://voyageur-autre.blogspot.com
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